dimanche 15 février 2015

Orientation pour tous "Point C.O." - Un nouveau site, nouveau et amélioré :-)


C'est parti ! 

http://www.orientationpourtous.co


NOUS DÉMÉNAGEONS !!! 

SUIVEZ-NOUS !!! 

Vers un nouveau site, avec davantage de contenus vidéos, les mêmes bons contenus pratiques pour intervenants, ainsi que l'ajout d'une perspective de plus en plus "Orientation ... pour TOUS !"


mardi 10 février 2015

Travail autonome, conciliation travail-famille et utilisation des TIC: une recherche sur ce cocktail de gestion de la vie quotidienne

INVITATION À PARTICIPER À UNE RECHERCHE UNIVERSITAIRE

Effets de l’utilisation des technologies de l'information et de la communication (TIC) sur la conciliation travail-famille et les relations interpersonnelles chez les travailleurs autonomes


Une équipe de recherche universitaire s’intéresse à la réalité des travailleurs autonomes ainsi qu’aux effets positifs et négatifs de l’utilisation des TIC sur la conciliation de leurs rôles de vie et la qualité de leurs relations interpersonnelles.

L’objectif est d’en arriver à formuler des recommandations pour favoriser la mise en place de services et de politiques adaptés à la réalité des travailleurs autonomes faisant usage des TIC et à cibler des actions spécifiques pour aider un nombre croissant de travailleurs aux prises avec des difficultés dans la conciliation de leurs rôles de vie.

Pour participer à cette recherche, vous devez :

1-être travailleur autonome au Québec, peu importe votre domaine professionnel
2-utiliser des TIC (Internet, téléphone cellulaire ou intelligent, courriel, etc.)
3-travailler au moins 20h par semaine
4-avoir au moins un enfant à la maison (à temps plein ou à temps partiel)

Votre participation consiste en 3 passations de tests psychométriques en ligne, avec 6 mois d’intervalle entre chacune. De plus, 60 personnes choisies aléatoirement seront invitées à participer à une entrevue semi-dirigée d’environ 90 minutes. Une compensation financière de 25$ sera versée pour chaque passation en ligne et les participants à l’entrevue recevront 75$.

Pour de plus amples informations sur la recherche, vous pouvez contacter la responsable de la recherche, Lise Lachance, Ph.D. professeure titulaire à l’UQAM au (514) 987-3000 #8332 ou lachance.lise@uqam.ca ou vous rendre directement sur le site Web du questionnaire en ligne :

lundi 2 février 2015

ESSAIS EN LIGNE : Adultes dysphasiques et développement de carrière (Catherine Gingras)



Gingras, C. (2014). Point de vue d'adultes dysphasiques sur les facteurs influençant leur développement de carrière. Projet de recherche. Maîtrise en carriérologie. Montréal: Université du Québec à Montréal. 

Ce qu’une personne va faire de sa vie est une préoccupation qui est au cœur d’un questionnement auquel chacun sera confronté. Très tôt dans l’existence de l’individu, des réflexions sont portées à cet égard. L’avenir des jeunes est directement concerné par l’orientation scolaire et professionnelle (Gaudet, Mujawamariya et Lapointe, 2010). D’ailleurs, c’est en 1993 que l’Ordre professionnel des conseillers et conseillères d’orientation du Québec[1] a proposé l’idée d’une école orientante, un projet qui intègre l’orientation scolaire et professionnelle aux activités d’apprentissage de l’élève. Introduit par le Ministère de l’Éducation[2] en 2002, le renouveau pédagogique, qui est l’application de l’approche orientante, a fait naître le projet personnel d’orientation (PPO). Le PPO est une matière scolaire qui incite l’élève à explorer des choix de carrière pour son futur. Dès la 3e année du secondaire, le PPO offre à l’élève l’occasion d’expérimenter, de réfléchir et d’agir en vue des cinq domaines de formation du programme de l’éducation québécoise. Ces domaines sont : les arts, les langues, l’univers social, le développement de la personne ainsi que la mathématique, la science et la technologie.
Or, il est possible que certains obstacles puissent rendre difficile le choix de carrière. Les troubles d’apprentissage en sont un exemple (Dipeolu, Hargrave, Sniatecki et Donaldson, 2012 ; Georgiou, Espahbodi et De Sousa, 2011). Il a été démontré que les élèves qui en sont atteints éprouvent des problèmes liés à l'identité professionnelle et à la capacité de prendre une décision en relation avec la carrière (Anctil, Ishikawa et Scott, 2008 ; Dipeolu et al., 2012). En outre, les troubles d’apprentissage donnent lieu à des difficultés scolaires puisque certaines des facultés suivantes sont atténuées : l’attention, la parole, la lecture, l’écriture et le raisonnement mathématique. (Talero-Gutierrez, Van Meerbeke et Reyes, 2012). En 2013, dans le Diagnostic and statistical manual of mental disorders, fifth edition (DSM-V) de l’American Psychiatric Association (APA), les troubles de la communication sont intégrés dans les troubles d’apprentissage et ils sont d’origine neurologique (Paquier, 2012).
La dysphasie est un trouble de la communication qui affecte le langage de façon permanente dans les sphères expressive et réceptive (Ordre des orthophonistes et audiologistes du Québec (OOAQ), 2004). L’OOAQ avance que 25 personnes sur 10 000 sont dysphasiques et que les garçons sont davantage concernés. Selon le recensement de l’année 2012 à propos de l’aide financière versée à toutes les familles ayant des enfants à charge de moins de 18 ans (le Soutien aux enfants), la Régie des rentes du Québec (2013) a établi que 6 355 enfants entre 0 et 17 ans ont un handicap relié aux troubles du langage. De plus, la réforme du système scolaire de 2002 du Ministère de l’Éducation a pris soin d’introduire des classes réservées aux élèves qui ont des troubles de langage sévères, une preuve que ces derniers sont jugés assez nombreux pour y avoir leur place. Selon l’Institut de la statistique du Québec (2013), en 2010-2011, 1,5 % de la population des plus de 15 ans ont des incapacités d’activités reliées à la parole. Par conséquent, environ 100 000 personnes sont susceptibles d’être des bénéficiaires de l’aide financière de dernier recours du Ministère de l’Emploi et Solidarité sociale du Québec. Ceci s’appuie sur le fait que leur langage est une contrainte à l’exécution de leurs activités. Enfin, un sondage mené en 2011 par l’Association des établissements de réadaptation en déficience physique du Québec (AERDPQ) auprès de ses membres a révélé que 30 % des demandes de service provenant des adultes dysphasiques concernent leur intégration socioprofessionnelle.
Dans les écrits, le terme trouble spécifique de langage est davantage utilisé pour faire allusion à la dysphasie. Dans les publications scientifiques, même si pratiquement aucun écrit n’est disponible concernant le développement de carrière des adultes dysphasiques, des indices sur ce sujet sont repérés.
Comme les troubles d’apprentissage, il a été démontré que les dysphasiques ont des déficits du point de vue de leur santé psychologique et des difficultés d’habiletés sociales (Conti-Ramsden et Botting, 2008 ; Durkin et Conti-Ramsden, 2010 ; Farrant, Maybery et Fletcher, 2012 ; Skhiri, 2011 ; St Clair, Pickles, Durkin et Conti-Ramsden, 2011 ; Taly et Emmanuelli, 2013 ; Zourou, Magnan, Ecalle et Gonzalez-Monge, 2009). Cela peut nuire à des échanges enrichissants avec les autres en raison des difficultés d’expression et parfois de compréhension, ce qui contribue à faire diminuer le sentiment d’efficacité personnelle (Lent, Brown et Hackett, 2002). À cela s’ajoutent des difficultés sur les plans scolaires et professionnels, ce qui fait en sorte que ceux-ci s’orientent majoritairement vers des métiers manuels et qu’ils éprouvent de la difficulté dans leur insertion socioprofessionnelle (Herbaux-Laborbe, 2013 ; Johnson, Beitchman et Brownlie, 2010 ; Withehouse, Watt, Line et Bishop, 2009). Les personnes ayant une dysphasie sont donc vulnérables à devenir des prestataires de l’aide financière de dernier recours du Ministère de l’Emploi et Solidarité sociale du Québec. Finalement, la poursuite d’études postsecondaires peut s’avérer périlleuse due entre autres aux difficultés reliées à l’apprentissage de l’écriture (Withehouse et al., 2009).
En somme, il est à prévoir que le développement de carrière des adultes dysphasiques sera parsemé d’embûches et c’est la raison pour laquelle cette population est visée, en plus de permettre d’alléger le processus de signature du formulaire de consentement selon la 2e édition de l’Énoncé de politique des trois conseils : Éthique de la recherche avec des êtres humains (EPTC 2) (Conseil de recherches médicales du Canada, Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada et Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, 2010).
En lien avec la carrière, le champ d’exercice du conseiller d’orientation consiste à évaluer la situation de la personne autour de trois dimensions, soit le fonctionnement psychologique, les ressources personnelles et les conditions du milieu (Ordre des conseillers et conseillères d’orientation, 2010). Ces trois dimensions à évaluer sont en relation les unes avec les autres et la dysphasie interfère sur celles-ci, d’où l’utilité d’en saisir les conséquences. De plus, sauf en neuropsychologie, la dysphasie dispose de peu de publications dans le champ de la psychologie et la recherche sur la qualité de vie des adultes touchés par ce trouble est rare (Herbaux-Leborbe, 2011 ; Johnson et al., 2010 ; Taly et Emmanuelli, 2013). De surcroît, l’AERDPQ (2011) précise que les services d’aide à l’emploi ne connaissent pas les besoins particuliers des dysphasiques. Ce constat a pour effet que ces personnes intègrent des stages qui ne font pas appel à leurs compétences ou n’obtiennent pas les adaptations requises, par exemple un soutien à l’exploration et à la connaissance de soi ou de l’aide pour une préparation à une entrevue de sélection. Enfin, un sondage portant sur le portrait de situation des adultes présentant une déficience du langage au Québec (AERDPQ, 2011) a mis en évidence que des 17 centres de réadaptation en déficience physique qui ont répondu, seul un d’entre eux offre les services d’un conseiller d’orientation.
Sans oublier l’avancement des connaissances, cette étude contribuerait à combler un vide qui subsiste face à la quantité, voire la qualité des services dont disposent les adultes dysphasiques à propos de leur développement de carrière. D’autre part, pour les conseillers d’orientation œuvrant en milieu scolaire, il est à prévoir que des mesures adaptatives puissent être proposées en considérant la Loi 21 du Code des professions (2013). Cette loi précise que ceux-ci puissent évaluer un élève handicapé ou en difficulté d’adaptation dans le cadre de la détermination d’un plan d’intervention en application de la Loi sur l’instruction publique. Ce projet de recherche s’inscrit également dans le sens des recommandations de Herbaux-Leborbe (2013) et de Withehouse et al (2009). Ces derniers ont conseillé de miser sur la compréhension du ressenti des dysphasiques. De cette manière, l’adulte dysphasique aura une meilleure définition de son potentiel d’employabilité et il pourra ainsi mettre en place un projet de carrière adapté à sa situation. La presque totalité des recherches recensées est présentée sous la forme quantitative. C’est donc dans une optique de recherche qualitative qu’un regard sera porté sur cette population quant aux facteurs pouvant influencer leur développement de carrière.
Bref, l’objectif de ce projet est d’obtenir le point de vue d’adultes dysphasiques sur les facteurs influençant leur développement de carrière afin de dresser un portrait détaillé et nuancé de leurs besoins. De cette manière, les divers intervenants des services d’aide à l’emploi ainsi qu’une plus grande majorité de conseillers d’orientation pourront leur offrir un accompagnement socioprofessionnel personnalisé. Ainsi, les personnes ayant une dysphasie seront encouragées à occuper un poste en lien avec leur potentiel et leurs intérêts, ce qui favorisera leur bien-être et leur participation active au sein de la société.

POUR CONSULTER LE DOCUMENT EN LIGNE, CLIQUEZ SUR ICI





[1] Depuis 2010, l’Ordre professionnel des conseillers et conseillères d’orientation du Québec (OPCCOQ) est devenu l’Ordre des conseillers et conseillères d’orientation du Québec (OCCOQ).
[2] Depuis 2005, le Ministère de l’Éducation est devenu le Ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS).

mardi 27 janvier 2015

ESSAIS EN LIGNE - Intérêts d'expérience, satisfaction des besoins et identité professionnelle (Éric Lafrenière)

Lafrenière, É. (2015). Le rôle des expériences dans les six types de Holland et de la satisfaction des besoins psychologiques fondamentaux dans la formation de l'identité professionnelle. Rapport d’activité dirigée. Document inédit. Montréal: Université du Québec à Montréal. 



La formation de l’identité professionnelle chez les jeunes suscite beaucoup d’intérêts, car les besoins en main-d’œuvre s’accroîtront au cours des prochaines années. Ainsi, la société aura avantage à ce que les jeunes fassent des choix professionnels qui correspondent à leurs intérêts et qui favorisent leur maintien en emploi. Les chercheurs s’entendent sur l’importance des expériences et du contexte social dans la formation de l’identité. Or, aucun écrit recensé ne précise les activités et le contexte social à privilégier pour la formation de l’identité professionnelle. Cette étude vise donc à examiner le rôle des expériences dans les six types de Holland et de la satisfaction des besoins psychologiques fondamentaux dans la formation de l’identité professionnelle. Une analyse typologique, auprès de 218 étudiants inscrits à un programme de baccalauréat représentant l’un des six types de Holland, fait ressortir cinq profils d’exploration d’activités liées aux types de Holland : 1) très exposé, 2) exposé de façon consistante ou 3) inconsistante, 4) exposé principalement à un type et 5) sous-exposé. Les profils 1 et 2 rapportent davantage de satisfaction à l’égard de leurs besoins psychologiques fondamentaux et obtiennent des résultats supérieurs à plusieurs indices identitaires (différenciation, clarté et flexibilité des intérêts) que les autres profils. Comme les résultats sur les indices de consistance et de congruence ne sont pas significatifs, des études devraient approfondir les facteurs qui leur sont associés. Les recherches futures devraient aussi prêter attention aux différences entre les sexes sur les expériences dans les six types de Holland et la satisfaction des besoins psychologiques fondamentaux, car elles peuvent expliquer l’écart entre les sexes dans le taux de fréquentation à l’université. Cette étude peut également avoir des retombées en matière de counseling d’orientation. En effet, les conseillers pourraient jouer un rôle auprès des parents en les aidant à structurer des activités et à adopter des attitudes favorisant la formation de l’identité professionnelle de leurs enfants.

Pour consulter le document complet, cliquez sur ICI

jeudi 22 janvier 2015

QUI SONT LES NOUVELLES ÉTUDIANTES, LES NOUVEAUX ÉTUDIANTS EN DÉVELOPPEMENT DE CARRIÈRE ?



 Résultats d’un sondage mené auprès des nouvelles étudiantes et des nouveaux étudiants à leur entrée aux études en développement de carrière à l’automne 2014. 


Chaque année, près de 200 adultes décident de s’inscrire dans l’un des deux programmes d’études de premier cycle en développement de carrière offerts à l’Université du Québec à Montréal. À l’automne 2014, 141 nouvelles étudiantes, nouveaux étudiants ont entrepris un baccalauréat en développement de carrière et 49 ont fait de même pour la majeure. Les programmes d’études en développement de carrière offerts à l’Université du Québec à Montréal visent à former des professionnelles, professionnels de la relation d’aide appliquée à la carrière aptes à œuvrer dans différents secteurs d’activités : établissements d’enseignement secondaire, collégial et universitaire, organismes d’aide à l’emploi, cabinets-conseils et entreprises en recrutement, sélection et formation de personnel, ainsi que des organisations publiques et parapubliques en matière de développement de l’employabilité et de réadaptation professionnelle. Les finissantes, finissants d’un baccalauréat et d’une majeure (lorsqu’elles et qu’ils possèdent préalablement un baccalauréat dans une autre discipline) peuvent aspirer à la poursuite d’études de maîtrise en carriérologie en vue d’être admises, admis ultimement à l’Ordre des conseillers et des conseillères d’orientation du Québec (OCCOQ). Les études en développement de carrière comportent des cours de relation d’aide appliquée à la carrière (counseling de carrière individuel, de groupe et en contexte pluriethnique), de compréhension des principaux modèles de prise de décision et de développement de carrière, d’étude du fonctionnement psychologique de la personne, de stratégies d’intervention spécifiques au développement de carrière (recherche d’emploi, bilan de compétence, reconnaissance et validation des acquis), de sensibilisation aux problématiques socioéconomiques relatives à l’emploi, d’acquisition d’habiletés en recherche scientifique et en psychométrie, ainsi que d’intégration en contexte de pratique professionnelle. 

Dans le cadre du cours Introduction au développement de carrière (CAR 2901), les nouvelles étudiantes, nouveaux étudiants ont remplis un sondage portant sur des caractéristiques sociodémographiques, l’expérience du travail pendant les études, les intérêts dirigés vers certains types de milieux et de clientèles, les raisons relatives au choix de poursuivre des études en développement de carrière, ainsi que la perception initiale de certains niveaux de compétences. Ce rapport expose les résultats du sondage et expose en conclusion une série de points saillants.

Pour consulter en ligne ce rapport, cliquez sur ICI.  



mercredi 21 janvier 2015

UQAM - MAÎTRISE EN CARRIÉROLOGIE - SERVICES D’ORIENTATION ET DE GESTION DE CARRIÈRE

Description : Description : http://aierti-iawis-2011.uqam.ca/sites/aierti-iawis-2011.uqam.ca/files/logos/uqam.png

SERVICES D’ORIENTATION ET DE GESTION DE CARRIÈRE

Offert par les étudiantes et les étudiants inscrits à la maîtrise en carriérologie.

Sous la supervision clinique de Louis Cournoyer, conseiller d’orientation et professeur en counseling de carrière au département d’éducation et de pédagogie.


Dans le cadre de leur formation de deuxième cycle les préparant à se qualifier pour l’admission à l’Ordre des conseillers et des conseillères en orientation du Québec (OCCOQ), les étudiantes et les étudiants de la maîtrise en carriérologie doivent mener des processus de counseling de carrière (orientation/réorientation; insertion/réinsertion scolaire et professionnelle; transfert de compétences) auprès de clients réels.

IMPORTANT. Compte tenu que les processus vont débuter en février, il importe de ne pas référer de personnes en quête d'un choix d'études pour le 1er mars ... 


Comment ça fonctionne ?

·        Le service est offert SANS FRAIS pour les personnes intéressées.

·        L’engagement demandé est une participation de quatre à six rencontres individuelles, selon votre besoin.

ü  Les rencontres ont lieu à la Faculté d’éducation, plus précisément au Pavillon Paul-Guérin-Lajoie - 1205, rue Saint-Denis.

·        Pour être supervisés adéquatement, les conseillères et les conseillers en formation doivent enregistrer sur vidéo leurs rencontres.

·          SEUL le professeur-superviseur pourra visionner les entretiens dans leur intégralité. À titre de professeur et de membre de l’Ordre des conseillers d’orientation, ce dernier est soumis à l’obligation déontologique de secret professionnel et de confidentialité.

·          Dans le cadre de supervisions collectives en sous-groupes, d’autres étudiantes et étudiants pourraient visionner un passage d’un maximum de 10 minutes d’entretien. Ces dernières et ces derniers sont également tenus au secret professionnel.

·          En tout temps, le client peut retirer son consentement à participer et demander à ce que certains passages ne soient pas enregistrés.

Les personnes inscrites comme étudiantes ou étudiants à l’UQÀM ne peuvent bénéficier de ce service. Ils peuvent déjà être desservis par les Services à la vie étudiante.


Si vous avez des questions ou encore souhaitez vous inscrire à ce service gratuit, veuillez communiquer par courriel avec le professeur Louis Cournoyer à l’adresse courriel suivante : cournoyer.louis@uqam.ca

INSCRIVEZ-VOUS MAINTENANT - PLACES LIMITÉES 

dimanche 4 janvier 2015

Enfin !!! Des capsules vidéo sur les habiletés relationnelles en counseling de carrière !


Nous avons osé ! Il n’y avait rien de neuf, rien de spécifique au counseling de carrière tel qu’on le pratique en développement de carrière et en orientation professionnelle au Québec. Il fallait se rabattre encore et toujours sur ce que les « psys » font. Donc, nous avons osé produire des capsules vidéo portant sur des habiletés relationnelles en counseling de carrière et bien qu’elles soient adaptées avant tout pour l’enseignement en classe, nous vous les offrons pour votre bon plaisir de réflexion et de formation continue.

Cette série de cinq capsules proposent des réflexions et des mises en situation d’intervention en counseling de carrière. Produites pour être utilisées dans un cadre d’enseignement universitaire du counseling de carrière, elles s’accompagnent en classe d’exercice et d’exposés pédagogiques. Elles sont ici offertes gracieusement pour que les conseillers en développement de carrière, les conseillers d’orientation, les enseignants du counseling de carrière, les autres professionnels de la relation d’aide et au besoin toute personne qui aspirent à une carrière dans ce champ disciplinaire puissent s’en approprier le contenu à leur manière.

Vous pouvez visionner ces capsules en consultant la chaîne YouTube « ORIENTATION POUR TOUS » en cliquant sur « ICI ».

Remerciements aux artisans de ce projet :

COMÉDIENNES, COMÉDIENS : Julien Brault,  Sébastien Morissette, Myriam Limoges et Marie-Hélène Pélissier, alors étudiantes et étudiants en développement de carrière à l’Université du Québec à Montréal ; Emmanuelle Desrosiers, conseillère d’orientation et alors finissante à la maîtrise en carriérologie de l’Université du Québec à Montréal ; Angélique Desgroseillers et Daniel Poulin, conseillers d’orientation et chargés de cours en counseling de carrière à l’Université du Québec à Montréal.

INVITÉES, INVITÉS : Patrick Jeannotte, conseiller d’orientation à la Commission scolaire des Patriotes ; Marie Ducharme, conseillère d’orientation à ce moment au SEMO Montérégie, aujourd’hui à l’Université du Québec à Montréal ; René-André Hervieux, conseiller d’orientation et psychothérapeute à l’Université du Québec à Montréal.

Réalisation : Chantal Lepire et Gaëlle de Roussan, conseillères d’orientation et chargées de cours en counseling de carrière à l’Université du Québec à Montréal

Production et scénarisation : Louis Cournoyer, c.o., professeur en counseling de carrière et directeur des programmes en développement de carrière à l’Université du Québec à Montréal

Montage, caméra et éclairage : Donald Caron, Martin Gauthier et Charles Verret


Financement : Projet de liaison CLL – Université du Québec à Montréal 

vendredi 2 janvier 2015

Conseillers d’orientation et enseignants face à la montée des clientèles dysphasiques : participation à une recherche.

Conseillers d’orientation et enseignants face à la montée des clientèles dysphasiques : participation à une recherche. 

Dans le cadre d’une recherche scientifique menant à la réalisation d’un essai sous la direction de Louis Cournoyer, professeur à l’UQÀM, la conseillère en emploi et prochainement conseillère d’orientation Marie-Ève Goulet est à la recherche de conseillers d’orientation et d’enseignants intéressés à partager leurs expériences ou appréhensions relatives à l’accompagnement d’élèves dysphasiques dans leur prise de décision de carrière.

Au travers d’un entretien de moins d’une heure, vous serez invités à communiquer vos représentations des difficultés relatives aux élèves dysphasiques, à examiner votre rôle dans l’accompagnement au choix de carrière de ces jeunes et à explorer  les types de difficultés que l’on peut rencontrer face à ce type de clientèle. Finalement, vous serez amenés à examiner des pistes d’intervention potentielles ou que vous avez déjà expérimentées auprès de tels jeunes et pour améliorer les pratiques et les services d’orientation qui leur sont offerts. 


VOUS N’AVEZ PAS À ÊTRE EXPERT DES CLIENTÈLES DYSPHASIQUES.

VOUS DEVEZ PLUTÔT :

-        Être intéressé non seulement à partager vos vus sur ce type de clientèle en contexte de prise de décision relative à la carrière, mais à BÉNÉFICIER EN EXCLUSIVITÉ DES RÉSULTATS UNE FOIS QUE CEUX-CI SERONT PRÊTS et ainsi pouvoir façonner de nouvelles pratiques plus adaptées;
-        Travailler dans une école d’enseignement secondaire où l’on retrouve la présence d’élèves dysphasiques de deuxième cycle du secondaire fréquentant des classes spéciales,  soit comme enseignant responsable de tels groupes, soit comme conseiller d’orientation de l’école en question où vous êtes appelés à intervenir auprès de ces derniers;

Si les conditions mentionnées ci-dessus vous rejoignent, considérer l’occasion historique ici de participer à une véritable réflexion approfondie sur l’apport pédagogique et d’orientation auprès des jeunes dysphasiques.


Pour toutes questions ou pour mentionner votre intérêt à participer à cette recherche fort pratique, svp communiquez avec Marie-Ève Goulet à marie-eve.goulet@hotmail.com

dimanche 14 décembre 2014

ESSAIS EN LIGNE - PROCESSUS DE PRISE DE DÉCISION DE CARRIÈRE CHEZ LES COLLÉGIENS DU SERVICE D'AIDE À L'INTÉGRATION DES ÉLÈVES (SAIDE)



Par

VÉRONIQUE DESROCHES 

FINISSANTE À LA MAÎTRISE EN CARRIÉROLOGIE 

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL

Le processus de prise de décision relative à la carrière est particulièrement complexe pour un jeune adulte car il doit prendre en considération plusieurs facteurs : les aptitudes, les intérêts, les coûts, la distance géographique de la formation, etc. Ce travail porte sur le processus de prise de décision d’étudiants ayant des limitations fonctionnelles, afin d’évaluer si le processus de prise de décision est semblable ou plus complexe pour ces derniers.

Le Ministère de l’Éducation avait présenté une Politique de l’adaptation scolaire (1999) pour intégrer ces élèves dans les écoles régulières, en mettant en place des services pour leur offrir les mesures d’aide appropriées. Le but étant que les ressources viennent à eux, et non l’inverse. Rendus à la fin de leur adolescence, ces élèves sont de plus en plus nombreux à s’inscrire dans un programme collégial pour poursuivre des études supérieures. Dans les cégeps, les étudiants doivent s’inscrire au  SAIDE (Service d’aide à l’intégration des élèves) pour bénéficier des mesures d’aide en lien avec leur plan d'intervention, afin d'assurer des conditions optimales pour leurs apprentissages (Cégep André-Laurendeau, 2014).  Une interrogation se pose à savoir si les projets de carrière de ces étudiants sont toujours réalistes, c’est-à-dire s’ils sont conscients des répercussions que leur situation personnelle peut occasionner sur leur projet d’étude.

L’objectif général de cette recherche est de décrire le processus de décision relative à la carrière de collégiens inscrits au SAIDE du Cégep André-Laurendeau. Cette recherche vise également de répondre à des sous-objectifs : 1) vérifier si ces étudiants ont une bonne connaissance de soi, 2) examiner si ces étudiants ont un projet de carrière clair, 3) analyser le niveau de prise  en considération de leurs limites personnelles dans leur choix d'études et la portée réaliste de leur objectif professionnel. Pour ce faire, un questionnaire d'enquête a été proposé auprès de la clientèle SAIDE inscrite à la session d'automne 2014. Ce questionnaire comprend également des questions à réponse ouverte afin d'explorer et ouvrir sur le sujet. En tout, 121 étudiants ont répondu au questionnaire.

Les résultats démontrent qu'un faible pourcentage des répondants prend en considération ses limitations fonctionnelles lors du choix de son programme d'étude. Toutefois, la majorité des étudiants qui ont répondu au questionnaire ont confiance en leur capacité à atteindre leur objectif professionnel et ils semblent déterminés à y arriver. Les critères qui sont davantage pris en considération lors du choix de programme d’étude sont les intérêts, les aptitudes et le salaire relié à la profession. La majorité des répondants se sont inscrits au SAIDE après leur entrée au cégep et seulement une minorité dit préférer ne pas bénéficier des mesures d’aide auxquelles ils ont droit. Principalement, les étudiants utilisent les mesures d’aide afin de faciliter leurs apprentissages ainsi que pour avoir de meilleures notes.

La discussion autour des résultats amène à s’interroger sur les moyens pris par ces étudiants pour récolter les informations nécessaires à une prise de décision relative à la carrière adéquate. Le pourcentage élevé d’étudiants qui disent avoir effectué leur choix de programme seul fait également surgir un questionnement sur les raisons qui sont à la base de ce constat. Les résultats de cette recherche qui sont discutés font émerger une autre idée à explorer lors d’un projet ultérieur, à savoir si les étudiants en situation de handicap sont ouverts au changement, en fait s’ils sont en mesure d’apprendre de leurs expériences et de tirer avantage des événements non prévus. Finalement, sachant que les mesures d’aide sont des alliées pour réussir et atteindre leur objectif professionnel, il serait intéressant de vérifier les causes qui entourent les inscriptions tardives au SAIDE.

POUR CONSULTER L'ESSAI EN ENTIER, CLIQUEZ SUR LE TITRE AU DÉBUT DU MESSAGE. 

POUR OBTENIR UNE COPIE PDF, ÉCRIRE À cournoyer.louis@uqam.ca 

lundi 3 novembre 2014

VALORISER DES CONSEILLERS QUI INNOVENT !

VALORISER DES CONSEILLERS QUI INNOVENT ! 

J'envisage à l'hiver prochain de produire des capsules vidéos portant sur la présentation de conseillers d'orientation et en développement de l'employabilité (OBLIGATOIREMENT FORMÉS EN ORIENTATION ET DÉVELOPPEMENT DE CARRIÈRE: UQÀM, Sherbrooke, Laval) qui innovent dans leurs milieux en instaurant de nouvelles façons de faire, en développant de nouveaux projets, qui trouvent des moyens d'aider autrement, de manière créative.

Je sais que les conseillers sont souvent des gens plus réservés, qui ne sont pas du genre à s'afficher publiquement en disant "voyez-moi, j'ai fait ceci, j'ai fait cela !". MAIS je sais également que les conseillers aiment mettre en valeur des collègues proches ou plus éloignés de qui ils admirent les réalisations.

L'idée serait des capsules vidéos de 15 minutes sous forme "entretiens avec ..." qui présenteraient chacune trois à quatre conseillers d'univers de pratiques différentes, mais ayant tous en commun d'avoir développés ou proposés des façons différentes (et potentiellement très inspirantes) de faire les choses.

Bref, à ce moment-ci, si vous connaissez de tels conseillers, que ce soit personnellement ou au-travers d'un regard plus distant de leur travail, pourriez-vous m'écrire et m'en faire part pour que je puisse les approcher ? Vous pouvez m'écrire à cournoyer.louis@uqam.ca

Voici ce dont j'ai besoin :

- Le nom du conseiller
- Le lieu de travail (si vous le connaissez)
- Ce qui vous inspire de cette personne, sur le plan de ses réalisations, actions

Bien sûr, je peux vous garder dans l'anonymat comme source de référence.


En terminant, je vous dirais que ce que j'aimerais faire c'est de RECONNAÎTRE des conseillers de qui l'on entend que trop peu parler par rapport à ce qu'ils apportent à leurs clients, à leur communauté professionnelle, au public.